Femen et Pussy Riots : l’arnaque des seins nus.
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Michel Garroté, réd en chef – Je lis (extraits adaptés ; cf. 1er lien en bas de page) que « Pour comprendre le fonctionnement de l’association FEMEN, une jeune journaliste de la télévision ukrainienne a intégré l’organisation et a participé à ses actions ‘seins nus’ en filmant ce qui se produisait avec une caméra cachée. Elle a suivi pendant plusieurs semaines une initiation professionnelle à l’art de la scène et aux relations publiques, apprenant à se comporter agressivement pour attirer l’attention des journalistes et se présenter comme une victime innocente. Le plus important, c’est d’être à l’aise en montrant ses seins au public lors des manifestations. La nouvelle recrue de FEMEN a fait ses débuts lors de l’action à Paris, où l’association a ouvert récemment un bureau. Les filles de FEMEN sont venues à Paris pour manifester. Le voyage à Paris était offert à la journaliste par l’organisation FEMEN. Le billet d’avion, la chambre d’hôtel, les voyages en taxi et la nourriture coûtaient un millier d’euros par jour pour chacune des participantes, sans compter les frais de costumes, les services des maquilleurs et des stylistes. La journaliste a également découvert que les activistes de FEMEN sont payées 1’000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine. En outre, le loyer que l’association verse pour son bureau de Kiev s’élève à 2’500 dollars par mois, alors que le loyer mensuel du bureau parisien se monte à plusieurs milliers d’euros ». Concernant le financement et la manipulation de FEMEN, la journaliste pense « qu’il s’agit certainement de personnes qui apparaissent souvent aux côtés des militantes du mouvement. Il s’agirait notamment du milliardaire allemand Helmut Geier, de la femme d’affaires allemande Beat Schober et de l’homme d’affaires américain Jed Sunden » (fin des extraits adaptés ; cf. 1er lien en bas de page).